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Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #63

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63. Si l’on a attribué à Dieu des Propriétés humaines, c’est parce que toute perception et toute illustration spirituelles viennent du Seigneur Seul; en effet, le Seigneur est la Parole, ou le Divin vrai, et il est la vraie Lumière qui éclaire tout homme, (Jean 1:1, 9) et il dit:

« Moi, Lumière, dans le monde je suis venu, afin que quiconque croit en Moi dans les ténèbres ne demeure point. » (Jean 12:46),

et cette Lumière et par suite la Perception influent seulement chez ceux qui reconnaissent le Seigneur pour le Dieu du Ciel et de la Terre, et s’adressent à Lui Seul, et non chez ceux qui embrassent chaudement l’idée de trois Dieux, ce qui a été fait dès le commencement de l’instauration de l’Eglise Chrétienne; cette idée, étant purement naturelle, ne reçoit d’autre lumière que la lumière naturelle, et ne peut être ouverte ni à l’afflux ni à la réception de la lumière spirituelle; de là vient qu’ils n’ont vu en Dieu d’autres propriétés que les naturelles. Outre cela, s’ils les avaient vues incompatibles avec l’Essence Divine et qu’ils les eussent repoussées de l’Article de la Justification, ils les auraient tout à fait retranchées de la Religion fondée dès le commencement sur le culte de trois Dieux, ainsi avant le temps fixe d’avance pour la Nouvelle Eglise, quand il y a Plénitude et Restauration.

  
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Thanks to L'Eglise Générale de la Nouvelle Jérusalem de Côte d'Ivoire for their permission to use the scanned and corrected text of this French translation.

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Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #61

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61. Qui ne sait que Dieu est la Miséricorde même et la Clémence même, parce qu’il est l’Amour même et le Bien même, et que c’est là ce qui constitue son Etre ou son Essence? et, d’après cela, qui ne voit qu’il y’a contradiction de dire que la Miséricorde même ou le Bien même puisse regarder l’homme avec colère, devenir son ennemi, se détourner de lui, décider sa damnation, et néanmoins demeurer Etre Divin ou Dieu? De telles suppositions tombent difficilement dans l’homme probe, mais facilement dans celui qui n’est pas probe; elles tombent aussi, non pas dans l’Ange du Ciel, mais dans l’Ange de l’enfer; aussi est-il abominable d’attribuer ces choses à Dieu. Qu’on les lui ait attribuées, c’est ce qui est bien évident d’après ce qui a été dit par plusieurs Pères, par les Conciles et ensuite dans les Eglises, depuis les premiers siècles jusqu’à ce jour; et aussi d’après les inductions qui du principe ont découlé nécessairement dans les principes, ou de la cause dans les effets produits (causata), comme de la tête dans les membres; par exemple, que Dieu veut être réconcilié, qu’il est réconcilié par amour pour le Fils, et par l’intercession ou la médiation; qu’il veut être rendu propice par la vue de l’extrême souffrance du Fils, et être ainsi ramené et pour ainsi dire forcé à la Miséricorde, afin que d’ennemi il devienne ami, et qu’il adopte les enfants de la colère pour enfants de la grâce. Qu’imputer la justice et les mérites de son Fils à l’injuste qui supplie par la foi seule, ce soit aussi purement humain, c’est ce qu’on verra dans la dernière analyse de cet Opuscule.

  
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