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Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #50

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50. Si la charité ne peut être conjointe avec la foi de l’Eglise d’aujourd’hui, et s’il n’en peut naitre d’après quelque mariage une bonne œuvre, c’est parce que l’Imputation remplit tout; elle remet les délits, elle justifie, régénère, sanctifie, donne la vie du Ciel, et ainsi le salut, et cela gratuitement sans aucune œuvre de l’homme; que serait alors la charité, dont le mariage doit avoir lieu avec la foi, sinon une chose superflue et vaine, et sinon un accessoire et un gage de l’imputation et de la justification accessoire qui cependant n’a de force pour aucune chose? De plus, la foi fondée sur l’idée de trois Dieux est erronée, ainsi qu’il a été montré ci-dessus, N° 39, 40; et la charité, qui en soi est charité, ne peut pas être unie à une foi erronée. On croit qu’il n’existe pas de lien entre cette foi et la charité, pour deux raisons: La première, par ce qu’ils font leur foi spirituelle, tandis qu’ils regardent la charité comme naturelle-morale, pensant qu’il n’existe aucune conjonction du spirituel avec le naturel. La Seconde raison, c’est qu’ils craignent que dans leur Foi, uniquement salvifique, il n’influe quelque chose de l’homme, et par suite quelque chose du mérite. D’ailleurs, il n’existe pas de lien de la charité avec cette Foi, mais il en existe un avec la Foi nouvelle, qui sera exposée ci-dessous, N° (116, 117).

  
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Thanks to L'Eglise Générale de la Nouvelle Jérusalem de Côte d'Ivoire for their permission to use the scanned and corrected text of this French translation.

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Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #27

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27. D’après les uns et les autres, il semble, au premier aspect, qu’il y a une entière conformité, mais afin qu’elle n’existe pas, les Réformateurs ont distingué entre les œuvres de la loi provenant de l’intention et de la volonté, et les œuvres de l’esprit provenant de la foi comme d’une source libre et spontanée, et ces œuvres-ci ils les ont appelées fruits de la foi; voir ci-dessus, N° 11 (h) (l), et N° 13 (a) (i) (l), et N° 15 (k). Ces choses bien examinées et conférées, on y voit, non la différence des œuvres mêmes, mais seulement la différence de la qualité des œuvres, à savoir, en ce que les unes partent de l’homme comme d’un sujet passif, et les autres comme d’un sujet actif; en conséquence celles-là, spontanément comme d’après l’entendement de l’homme, et non en même temps d’après sa volonté: cela est dit, parce qu’il est impossible que l’homme n’ait pas conscience de ses œuvres quand elles se font, puisqu’il les fait, et que c’est par l’entendement qu’il en a conscience. Cependant comme les Réformés prêchent aussi les exercices de la pénitence et les luttes avec la chair, N° 13 (d) (e) (f) (g) (h) (k), et que ces choses ne peuvent être faites par l’homme, si ce n’est d’après son intention et sa volonté, et ainsi par lui comme de lui-même, il s’ensuit que néanmoins en actualité il y a conformité.

  
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